Sa réaction est émouvante (Vidéo)

Après des mois d’incendies et de désolation en Australie, les pluies et le travail acharné de très nombreux pompiers et volontaires, la situation semble s’être calmée. Le travail des associations et des vétérinaires est essentiel. Nous avons tous encore en tête les images des animaux australiens perdus, morts, désorientés. Le bilan reste catastrophique, à tel point qu’il est difficile d’imaginer le désastre réel. Plus d’un milliard d’animaux ont péri et il y a d’autres milliards d’animaux encore en danger, blessé, qui ont perdu leur environnement.

Ce sont des images qui hantent beaucoup d’entre nous car nous nous sentons tellement impuissants et dévastés. Alors dans ces moments-là, il est important d’aussi voir comment des gens se battent sans relâche pour aider ces animaux. C’est le cas du vétérinaire américain Paul Ramos et de toute son équipe. Ils font un travail formidable. Paul Ramos est sur place en Australie et épaule les équipes de vétérinaires, il va sur le terrain, tente de trouver des survivants, de soigner les blesser. Ils ont récemment recueilli un bébé koala dont la maman est malheureusement morte. Il a eu la chance d’être sauvé à temps. Selon les équipes vétérinaires, il n’aurait pu survivre sans aide: «Il n’aurait pas survécu un jour à l’état sauvage par lui-même à son jeune âge.»

La vidéo a ému des millions de personnes

Ce petit koala a beaucoup de chemin à faire pour se construire sans l’affection maternelle: «Il est en train de gérer la perte de sa mère et les leçons pour vivre par lui-même.» a raconté Paul Ramos. La vidéo a ému des millions de personnes à travers le monde. Le bébé est dans les bras d’une bénévole. On lui tend alors un koala en peluche et le bébé se précipite (à vitesse de koala) vers lui. Il l’enlace et se met à le mordiller gentiment. Très entouré, il peut compter sur ses vétérinaires mais aussi sur cette peluche en forme de koala. Regardez la vidéo, depuis plusieurs jours, le petit animal se blottit contre cette boule de poils qui lui rappelle le corps accueillant de sa mère.